Séismes en Syrie et en Turquie: Aide aux personnes touchées

«Je me sens très bien et heureuse dans l’espace de protection et dans la salle de jeu», affirme Eda, 10 ans.

Les deux sœurs Eda (10 ans) et Ayse (6 ans) ont certes survécu à cet affreux séisme mais elles ont perdu leur foyer. Après avoir été hébergées dans différents logements provisoires, elles vivent désormais temporairement avec une quarantaine de proches. Les deux jeunes filles se rendent dans un espace de protection et de jeu mis en place par Save the Children.

«Avant d’être arrivés ici, mes filles étaient apeurées et voulaient me tenir la main en permanence», explique leur mère Melis.

Grâce à des jeux en compagnie d’autres enfants, les filles ont pu assimiler leurs expériences dans un environnement sûr.

«Je me sens très bien et heureuse dans l’espace de protection et dans la salle de jeu», affirme Eda, 10 ans.

Après le séisme, Save The Children a aidé les familles d’Eylül et de Sümeyye en leur donnant des kits d’hygiène et des colis alimentaires. En dehors de cela, nos équipes rendent visite aux enfants dans les régions touchées et procèdent à des activités avec eux, qui les aident à se détendre et à assimiler ce qu'ils ont vécu. «J’aurais aimé que ce séisme ne se produise pas. J’aurais aimé que personne ne meurt ou ne souffre», déclare Eylül, 10 ans.

Comme de nombreuses autres familles de la province turque d’Hatay, Eylül (10 ans) et sa cousine Sümeyye (7 ans) ont perdu des parents lors du séisme.

Actuellement, elles vivent toutes les deux avec leurs familles dans des tentes, non loin de la ville détruite d'Antakya, à côté de leurs vaches, de leurs poules et de leurs abeilles. Eylül partage la tente avec sa famille composée de 10 personnes. Il s'agit de sa mère, de son père, de ses frères et sœurs, mais aussi de ses grands-parents.

Après le séisme, Save The Children a aidé les familles d’Eylül et de Sümeyye en leur donnant des kits d’hygiène et des colis alimentaires. En dehors de cela, nos équipes rendent visite aux enfants dans les régions touchées et procèdent à des activités avec eux, qui les aident à se détendre et à assimiler ce qu'ils ont vécu. «J’aurais aimé que ce séisme ne se produise pas. J’aurais aimé que personne ne meurt ou ne souffre», déclare Eylül, 10 ans.

Nous aidons la famille via une organisation partenaire avec des produits alimentaires et de l’eau, des tapis, des matelas et des vêtements.

Les frères Mamdouh (8 ans) et Adel (22 ans), ainsi que leurs parents, ont perdu leur maison à Alep, au nord de la Syrie, à cause du tremblement de terre et ont dû s'installer en tente. Mais ce n’est que l’un des nombreux déplacements que la famille a dû effectuer.

«A un moment donné, j’ai arrêté de compter le nombre de fois où nous avons dû bouger», explique le père, Dia. A l'origine, la famille est originaire de la banlieue de Damas. Ils y ont vécu deux fois en état de siège et en ont été chassés deux fois avant de se réfugier dans le nord, à Idleb. La famille a vécu là-bas pendant presque un an jusqu’à ce qu’elle perde sa maison en raison d'un bombardement et déménage à Alep, au nord-ouest de la Syrie, où elle fut maintenant frappée par le tremblement de terre.

Nous aidons la famille via une organisation partenaire avec des produits alimentaires et de l’eau, des tapis, des matelas et des vêtements.

«Ma fille crie et vocifère pendant son sommeil, exactement comme elle l’a fait lorsqu’elle dormait et que le bâtiment s’est effondré. Elle s’imagine que nous nous trouvons encore sous les décombres», déclare Amani, sa mère. La famille vit dans une tente qui a été mise à disposition par notre organisation partenaire. Elle a également donné des couvertures, de la nourriture, des vêtements à Ahmad, Dina et leurs parents et des médicaments à Lufti, le père.

Les frères et sœurs Ahmad (12 ans) et Dina (6 ans) dormaient lors le tremblement de terre a touché leur maison à Alep, au nord de la Syrie. Leurs parents ont essayé de les protéger de la chute du plafond. Leur père Lufti s’est brisé le dos.

La famille a été piégée sous les débris pendant environ quatre heures jusqu'à ce que les voisins entendent les appels à l’aide. Leur maison fut complètement détruite - la famille a perdu tout ce qu’elle avait dans les débris. Ils se retrouvent sans rien. Dina fait des cauchemars depuis le séisme.

«Ma fille crie et vocifère pendant son sommeil, exactement comme elle l’a fait lorsqu’elle dormait et que le bâtiment s’est effondré. Elle s’imagine que nous nous trouvons encore sous les décombres», déclare Amani, sa mère. La famille vit dans une tente qui a été mise à disposition par notre organisation partenaire. Elle a également donné des couvertures, de la nourriture, des vêtements à Ahmad, Dina et leurs parents et des médicaments à Lufti, le père.