On estime que, cette année, près de 305 millions de personnes auront besoin d’aide humanitaire de toute urgence – parmi elles, toute une génération d’enfants. Voici cinq crises que nous ne devons pas oublier en 2025.
Les affrontements entre les groupes armés et les forces gouvernementales ont considérablement aggravé la situation des enfants dans l'est de la RDC. Il s'agit de la plus grave escalade de violence depuis plus d'une décennie.
L’annonce d’un accord de trêve dans la bande de Gaza offre certes un moment de répit, mais n’apportera pas de grand changement à la situation précaire des enfants sur place. Nous sommes sur place pour apporter une aide d’urgence.
L’an passé, les enfants ont encore dû faire face à de nombreuses nouvelles crises partout dans le monde, mais il y a aussi eu de bonnes nouvelles. En voici cinq exemples qui laissent entrevoir l’espoir d’un avenir meilleur pour les enfants.
Save the Children travaille depuis de nombreuses années au renforcement des droits de l'enfant dans le domaine de l'asile. Cela comprend également les hébergements collectifs où des familles vivent depuis de nombreuses années à l’aide d’urgence. Notre collaborateur Serge Ducrocq, en tant que pédagogue social expérimenté, travaille également de manière participative avec ces familles - et avec succès.
Il y a 100 ans, les droits des enfants étaient reconnus pour la première fois dans la «Déclaration de Genève». Nous profitons de cet anniversaire pour revenir sur les avancées essentielles des droits de l’enfant au cours du siècle dernier.
Faire en sorte que les idées prennent vie est pour moi l’aspect le plus passionnant de ma fonction. Chez Save the Children, je fais le lien entre les entreprises engagées et nos projets pour les enfants en détresse. Les projets innovants qui peuvent voir le jour se révèlent lorsque deux partenaires forts œuvrent de concert et exploitent leurs compétences respectives.
Les droits de l’enfant n'attendent pas. Rahel Wartenweiler et Rahel Zimmermann, du Réseau suisse des droits de l’enfant, nous expliquent pourquoi dans un entretien.
Les enfants, les jeunes et les familles requérant·e·s d’asile en Suisse sont particulièrement vulnérables. Ils/Elles ont besoin d’espaces sûrs pour pouvoir surmonter leurs expériences souvent très stressantes. Nous avons demandé à des spécialistes comment créer des espaces de ce type pour les enfants et les parents Roms requérant·e·s d’asile.
Quel·le héros·ïne sommeille en toi? Es-tu courageux comme Robin des Bois, imaginatif comme Peter Pan, attentionné comme Heidi ou fort comme Pippi Grandes-chaussettes? Tu n’arrives pas à choisir? Fais notre quiz ci-dessous pour le découvrir...